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Publié par L'équipe The Green Side dans CBD : douleurs et maladies le 01/12/2022 à 12:10
La maladie de Parkinson, une maladie neurologique progressive qui affecte le système nerveux central, touche principalement les personnes âgées de plus de 55 ans et plus particulièrement les hommes. Le CBD, un cannabinoïde présent dans le chanvre, peut agir sur plusieurs aspects de la maladie : l'inflammation cérébrale, la détérioration des cellules, les changements d'humeur et la dépression, la qualité du sommeil et les difficultés musculaires. Les personnes atteintes de Parkinson peuvent prendre des huiles de CBD à spectre complet et à forte concentration comme les huiles pour douleurs, afin de soulager leurs symptômes, en commençant par des doses faibles et en augmentant progressivement en fonction de leur ressenti. Le CBD pourrait ralentir la destruction des neurones producteurs de dopamine et ainsi améliorer les performances cognitives et motrices. Les traitements actuels pour la maladie de Parkinson visent à soulager les symptômes et non à obtenir une rémission.
Il s’agit du deuxième trouble neurodégénératif le plus répandu en France après l’Alzheimer, comptant ainsi plus de 160 000 personnes atteintes et plus de 25 000 cas supplémentaires détectés chaque année. Dans le monde, ce sont plus de 10 millions d’individus qui sont concernés : la maladie touche principalement les personnes de plus de 55 ans et plus particulièrement les hommes. Parkinson affecte le cerveau, et particulièrement la partie responsable de la fabrication de la dopamine (neurotransmetteur associé à l’humeur, à la motivation, la motricité, la concentration et l’apprentissage). La maladie provoque la mort de nombreux neurones et la baisse du niveau de dopamine, elle n’est pas considérée comme mortelle mais certaines conséquences et complications peuvent l’être. Selon la FFGP (Fédération Française des Groupements de Parkinsoniens), le CBD et les huiles de CBD à effets rapides sont d'excellentes options car ils atténuent les symptômes de la maladie voire ils pourraient ralentir sa progression (voir article).
Rappelons que le CBD est un cannabinoïde (molécule chimique) présent dans la plante de chanvre (cannabis) et qui, contrairement au THC n’est ni psychotrope, ni addictif. Il agit sur le système endocannabinoïde de notre corps (système que tout mammifère possède) et particulièrement sur les récepteurs CB1 et CB2, modifiant le message nerveux porté au cerveau. Le CBD peut agir sur plusieurs aspects de la maladie de Parkinson : l’inflammation au cerveau et la détérioration des cellules, les changements d’humeurs et la dépression, la qualité du sommeil, les difficultés musculaires.
Le manque de dopamine est un des facteurs clés concernant les symptômes de cette maladie, cela provoque la faiblesse musculaire (tremblements, rigidité, manque de coordination des mouvements) mais aussi des conséquences plus psychologiques. Ainsi, le système endocannabinoïde agirait directement sur les troubles musculaires. La consommation de d'huile de CBD entraînerait des conséquences positives (voir article) en motivant le cerveau à contrebalancer la perte de dopamine par l’activation des régions du « mouvement » grâce à un récepteur récemment découvert : le GPR6. Deux chercheurs de l’université de Louisville ont en effet noté l’influence du CBD sur le soulagement des symptômes grâce aux GPR6, les résultats sont stupéfiants (voir article) !
Le cannabidiol peut donc aider à lutter contre les troubles musculaire et contre les douleurs avec des huiles CBD adaptées. Une seconde conséquence de la prise de CBD est aussi le soulagement des effets secondaires courants comme la dépression, l’anxiété ou le sommeil. Le CBD aurait en effet la capacité de favoriser l’endormissement et le sommeil profond mais aussi de limiter l’anxiété : rappelons que 45% des personnes atteintes de Parkinson souffrent de dépression ! Ces deux sujets sont traités dans notre blog, concernant les articles « CBD et anxiété » et « CBD et sommeil ». La dépression résulte souvent d’un phénomène de neuro-inflammation, qui s’aggrave au fur et à mesure que les neurones producteurs de dopamine reculent. Ce processus neurodégénératif aggrave le cas du patient atteint, l’objectif est donc de réduire cette inflammation : le CBD pourrait ralentir la destruction des neurones producteurs de dopamine grâce à l’inhibition des cytokines (qui inflamment les tissus) et à la libération du glutamate (neurotransmetteur nécessaire au bon fonctionnement du cerveau). De cette manière, le CBD pourrait améliorer les performances cognitives mais aussi les performances motrices.
Les malades utilisent pour la plupart l’huile de chanvre sublinguale pour atténuer leurs symptômes : les plus intéressant reste une huile à spectre complet et de forte concentration. L’effet est rapide (dans les quelques dizaines de minutes qui suivent) et la prise est simple (en sublinguale). Il est évidemment conseillé de choisir une huile de qualité, d’être précis et constant dans les dosages et bien sûr de consulter votre médecin si besoin. Si vous commencez tout juste avec le CBD, débutez par des doses faibles puis augmentez progressivement selon votre ressenti.
Sur le site FFGP, il est conseillé les posologies suivantes :
En moyenne, nous conseillons de commencer par une dose moyenne qui pourrait équivaloir à 1mg de CBD pour 1kg de votre poids. A noter, une huile contient 10ml soit 200 gouttes, une huile de 20% (2000mg) contient donc l’équivalent de 200 gouttes de 10mg de CBD.
Rappelons que l’OMS a déclaré en 2017 que le CBD était une substance sécurisée, sans risque d’abus. Cependant, certains consommateurs témoignent d’effets secondaires bénins : des étourdissements, ou de la somnolence. De plus, le CBD peut interagir avec des médicaments contre le Parkinson, si vous êtes déjà sous traitement, il est pertinent de consulter un médecin.
La maladie évolue en cinq différents stades, des premiers signes jusqu’à l’aggravation nette des symptômes à travers les années. Les premiers problèmes sont souvent musculaires puis, lors de la progression de la maladie, des symptômes non-moteurs peuvent aussi apparaître. On remarque ainsi : tremblements musculaires, rigidité des membres, problèmes d’équilibre puis hallucinations, délires, dépression, manque de concentration, changements d’humeur, troubles du sommeil, perte de l’odorat, mauvaise libido, déficit cognitif. Les traitements aujourd’hui utilisés pour traiter la maladie de Parkinson ne visent pas à atteindre une rémission mais seulement à gérer les symptômes : médicaments pour améliorer la production de dopamine. Il n’y a pas de remède pour cette maladie.
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